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vendredi 31 août 2012

FCG vs SF : Les liens streaming


Voici les liens pour le match de ce soir opposant le Stade Français à Grenoble :

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mercredi 29 août 2012

Le MHR a lancé sa saison !



La victoire face à Clermont a soulagé Montpellier. Défait lors de la première journée au Stade français, le MHR a su se remobiliser pour faire patiner les Clermontois. Pour sa deuxième réception de rang, samedi face Agen, le club héraultais veut imposer sa force: "On n’a pas envie d’être une équipe moyenne, à chaque fois dans la réaction", clame le demi de mêlée, Julien Tomas, sur le site du club, au sortir de l’entraînement mardi. Car avant Clermont, la contre-performance à Charléty (16-32) avait mis en lumière les lacunes montpelliéraines. Tomas toujours: "Nous avions manqué d’engagement, de précision, d’envie". Trois valeurs que devraient porter haut les Agenais, encore orphelins de victoires après deux matchs à Armandie. Les conditions d’un match-piège sont réunies. Le demi de mêlée compare d’ailleurs ce match à ceux de l’an dernier contre Brive ou Bayonne, qui après des déconvenues dans leur antre, débarquaient sans complexe.
Galthié: " Quand on est une bonne équipe, on ne se relâche pas"
Le relâchement serait alors la pire chose qui puisse arriver aux Héraultais face à des Lot-et-Garonnais, mobilisés et vexés que les entraîneurs du Top 14 les aient condamnés au Pro D2 dans un récent sondage paru dans Midi Olympique. Le directeur du rugby, Fabien Galthié, fixe la ligne de bonne conduite: 
"Il faut essayer d’avoir un peu de continuité et ne pas toujours être performant sur la colère". Julien Tomas, qui devrait débuter sur le banc après la bonne prestation de Paillaugue à la mêlée, va plus loin: "On veut grandir, être constant dans la dimension mentale. Si on perd samedi, cela signifiera qu’on n’est pas invité à jouer le haut de tableau". 
Si la tendance est au calme à Yves-du-Manoir, la rigueur et la détermination transpirent dans les propos montpelliérains. Galthié envoie ainsi un message lapidaire: "Quand on est une bonne équipe, on ne se relâche pas". Des propos peu rassurants pour des Agenais qui ne pourront pas compter sur une défaillance mentale des barragistes de la saison dernière.
Rugbyrama.fr

Agen reste confiant malgré les résultats


La panique n’a pas encore gagné Agen. Malgré deux défaites à domicile en deux rencontres depuis le début de la saison, le SUA se veut résolument positif pour la suite. A commencer par son directeur du rugby, Philippe Sella. « Je n'ai aucune inquiétude par rapport à ce qu'ont montré les joueurs sur le terrain, assure l’ancien ailier international français dans des propos rapportés par Sud-Ouest. Il ne manque que la victoire qui aurait pu valider tout le travail et les changements. On sent de l'ambition dans le contenu. Mais on n'est pas dans une période de réussite. Même si les joueurs ont fait plaisir à beaucoup de monde et que je suis fier d'eux parce qu'ils ont beaucoup entrepris, la chance n'est pas avec nous. » Contre Biarritz samedi dernier (19-25), comme face au Racing-Métro la semaine précédente (20-24), les Lot-et-Garonnais n’ont pas été en réussite. Incapables de concrétiser leurs temps forts, punis sur chacune de leurs erreurs défensives, ils ont payé cash le moindre de leurs errements.

Selon le staff, certaines décisions arbitrales leur ont aussi été défavorables. 

« On nous a enlevé quelques moments de bonheur parce que l'humain peut se tromper, précise-t-il, en pensant surtout à la défaite contre le BO. Je ne focalise pas sur l'arbitrage, mais il y a des faits de jeu bien réels. C'est gros, surtout à la maison. Ce sont des faits qui ne sont pas sujets à polémique. Nous avons été arbitrés comme une petite équipe. » Forcément frustré par la situation comptable de son équipe, douzième avec seulement deux points au compteur, les Agenais ne veulent pas renoncer à leurs ambitions de jeu. Quitte à mourir avec leurs idées. 
« Pourquoi revenir à quelque chose de plus minimaliste ? Les interrogations n'existent que par les résultats mais pas par rapport à ce qu'on a vu sur le terrain. Il ne nous manque que des victoires car les joueurs ont bien assimilé le projet et sont demandeurs. Il faut encore améliorer la maîtrise dans l'organisation. Mais on croit en leur capacité à développer leurs compétences pour avoir le meilleur rendement collectif possible. »

Portés par une volonté de jouer, parfois à outrance, les entraîneurs sont convaincus d’être sur la bonne voie. Ils ont toujours le soutien de leurs joueurs, séduits par le projet.

 « On croit tous en ce qu'on fait à 200 %, assure Jalil Narjissi. Il n'y a aucun doute dans nos têtes. On voit que cela nous fait avancer. Mais quand on a le match en main, il faut savoir le tuer. J'ai confiance en mon staff et mes coéquipiers. J'espère qu'on va très vite récupérer tous les blessés mais il faut continuer dans cette direction, ne pas douter, croire en ce qu'on fait et ça paiera. » Au club depuis 2004, le talonneur marocain a tout connu avec le SUA. Il refuse de comparer la situation actuelle avec celle de la saison 2010-11, où les Agenais n’avaient remporté qu’une seule victoire lors des dix premières journées. « À l'époque, on ne savait pas où on en était. Là, je suis confiant, je sais qu'on va y arriver. Samedi, on ne va pas aller à la plage à Montpellier. On va y aller sans se poser de questions, sans pression négative, et jouer à fond. C'est à l'extérieur qu'on construit des équipes. » Et qu’on rattrape les points perdus à la maison. 

CSBJ : Liquidation confirmée



Le tribunal de commerce de Vienne, où les dirigeants berjalliens avaient déposé un dossier, a prononcé mardi la liquidation judiciaire de la SASP CSBJ, actant ainsi la fin du professionnalisme à Bourgoin.

Voilà, c’est fini. Trois semaines après la décision du tribunal administratif de ne pas casser la sanction prise par la Ligue Nationale de Rugby, soit la rétrogradation du club en Fédérale 1, Bourgoin a vécu une nouvelle étape dans sa descente aux enfers. Le tribunal de commerce de Vienne a prononcé mardi la liquidation judiciaire de la SASP CSBJ, après avoir constaté la situation de cessation de paiement. Cette décision induit la fin du professionnalisme à Bourgoin. Dans les prochains jours, Me Billioud, nommé mandataire-liquidateur par le tribunal, devra « procéder au licenciement des salariés du club » et « recueillir les déclarations de créance ». Au niveau sportif, l’Association-CSBJ gérera le club pour préparer la saison prochaine. La Fédération Française de Rugby doit encore donner son aval à la présence des Berjalliens en Fédérale 1. Elle devrait se prononcer dans les prochains jours.

Boudjellal attaque et répond


Une affaire qui ne cesse de faire du bruit. L’intrusion de Bernard Laporte dans le vestiaire des arbitres à la mi-temps de la rencontre entre le Racing-Métro et Toulon samedi dernier continue de susciter des réactions. Après Jacky Lorenzetti et Guy Novès, qui se sont étonnés publiquement du comportement de l’ancien sélectionneur du XV de France, Mourad Boudjellal y est allé de son commentaire. Le président du RCT a bien entendu pris la défense de son manager. Il a expliqué que son geste était surtout maladroit. « Bernard n'a jamais eu l'intention d'influencer l'arbitre, a indiqué Boudjellal, interrogé par La Provence. Sans savoir s'il enfreignait le règlement, il est juste allé dire à l'arbitre que si le geste du Racingman (Dimitri Szarzewski) était volontaire, Toulon porterait réclamation, alors que pareille démarche doit être entreprise auprès du délégué de match. Ça s’arrête là. » Cette version des faits, Laporte l’avait déjà défendu sur les ondes de RMC

Se défendant d’avoir voulu exercer une quelconque pression sur les arbitres, il a surtout été choqué par l’état de l’oreille droite de Chris Masoe, piétinée malencontreusement par Szarzewski. « J’ai failli vomir tellement c’était affreux. Et ça m’a agacé. On s’est un peu énervé pour rien mais je ne suis pas allé voir l’arbitre pour lui parler de technique ou de fautes. J’ai été le voir pour lui dire qu’on allait porter réclamation. Ce n’était pas du tout pour influencer l’arbitre. (…) L’arbitre s’occupe du jeu et de faire respecter les règles. Mais on n’a pas le droit donc il ne faut pas le faire, point à la ligne ». Son entrée dans le vestiaire réservé aux officiels avait néanmoins éveillé la curiosité de Novès, qui ne s’en était pas caché. « A partir du moment où je ne m’autorise pas à aller mettre une forme de pression sur l’arbitre, si l’entraîneur adverse se le permet, ça m’interpelle, lâche l’entraîneur toulousain. On doit tous faire les mêmes efforts, même si pour l’entraîneur c’est toujours très, très dur d’accepter certaines décisions. » 

Mais comme à son habitude, Boudjellal se fait cinglant dans sa réponse. Se gardant bien de citer des noms, le boss de Toulon fait référence à un épisode de la saison passée. « Moi, j’ai su qu'un entraîneur a pénétré dans le vestiaire de l'arbitre pour influer directement sur une décision. Du coup, le carton rouge qui avait été infligé à son joueur s'est étrangement transformé en jaune... » Il évoque par cette phrase aux contours policés le match de la dernière journée de la phase régulière du championnat entre Toulouse et Montpellier. Yoann Maestri et Mamuka Gorgodze avaient écopé chacun d’un carton rouge lors de la rencontre. Mais l’arbitre avait modifié sa sanction dans son rapport final et les deux joueurs avaient ainsi pu disputer les phases finales. Souvent à contre-courant de l’opinion générale, il défend aussi les arbitres, très critiqués depuis le début de la saison. Si Boudjellal avait assuré qu’il se ferait plus discret dans les medias, il ne manque jamais une occasion de défendre son club. Sur ce plan-là, il ne changera certainement jamais.

mardi 28 août 2012

Jerry Collins se confie pour Team Rugby-Actus !


Jerry Collins, ancien troisième ligne aile de la célèbre équipe des All Blacks, est actuellement au Japon et dispute le Top League Japonnais. Depuis 2008 Jerry Collins a connu trois clubs,en 2008 il a rejoint le Rugby club toulonnais avec un contrat de trois ans à la clé. Mais en 2009 il rejoint les Ospreys puis en 2011 part jouer au Japon avec le Yamaha Júbilo.

Contacté il y a quelques jours, il nous a répondu entre ambition, retour sur les All Blacks voici une interview pleine de sincérité et de simplicité : 

Bonjour Jerry comment vas-tu ? La reprise avec Yamaha Jubilo s'est bien passée ?

Bonjour, oui ça va très bien, la reprise s'est bien passée malgré que je me suis blessé. Je me suis tordu la cheville le week-end dernier et je pense être indisponible trois à quatre semaines.. 
Mais au club, les choses sont bonnes, tout se passe bien ici sur la côte est du Japon.

Tu es arrivé l'an dernier au club Japonnais, comment te sens-tu ? Le Japon te plaît ?

Je suis arrivé dans ce club il y a un an après avoir passé deux bonnes saisons avec les Ospreys, je suis partis d'Angleterre à cause de problèmes administratifs au club. La récession qui frappe l'Europe, frappe aussi les clubs de sports et le club n'avait rien ou quasiment rien pour se restructurer. 

J'ai donc pensé que partir au Japon était la meilleure chose pour moi malgré que le club Gallois de Swansea m'est proposé un nouveau contrat. D'ailleurs je suis très reconnaissant envers le club des Ospreys et envers les dirigeants. 

J'ai apprécié mon séjour là bas, c'était un excellent endroit pour moi. Jouer pour ce club m'a permis de retrouver mon rugby que j'avais perdus depuis mon arrêt chez les All Blacks...

Le jeu au Japon est il différent de l'hémisphère Nord et de l'hémisphère Sud ? Les français connaissent peu le rugby Japonnais peux-tu nous en parler ?

Le rugby Japonnais est très rapide. Ici au Japon, on se base déjà sur l'organisation autour du club. C'est à dire que le club essaye de se structurer qu'avec des dirigeants Japonnais. Ensuite une fois le club structuré, le premier objectif est de privilégier la formation des jeunes. 

En termes de jeu, les Japonnais essayent de se calquer sur le modèle du "Super Rugby". Ce modèle se traduit par un rythme de jeu extrêmement rapide ou la mouvement de la balle est primordiale. 

Au Japon, il y a très peu de joueurs de l'hémisphère Nord, la plupart des joueurs viennent tous de l'hémisphère Sud, en provenance de Nouvelle-Zélande, Australie et des différentes îles.. D'ailleurs pour la petite anecdote j'ai retrouvé des joueurs que je n'avais pas revu depuis quatre ou cinq années ! Au club nous avons un jeune joueur français du nom de Patrice Olivier. Ça me fais drôle de me retrouver avec un français, ça me rappelle l'aventure à Toulon et je lui lance quelques phrases en français que je me souviens !  (rires) 

Tu évoques dans la question précédente ton aventure à Toulon. Tu y as passé une saison, suis-tu toujours les résultats du club ?

Oui je suis toujours les résultats du club, j'essaye de les regarder souvent. Pour moi à Toulon c'était une période très intéressante. Je suis heureux pour le succès qu'ils ont depuis quelques saisons ! 

Je suis juste déçu de ne pas avoir pu percer au club, de ne pas avoir pu pratiquer mon meilleur rugby et j'ai quelques regrets. J'aurais aimé faire partie de l'aventure de l'an dernier par exemple...

Mais... En regardant en arrière, je suppose que ce n'était pas ma meilleure année là bas. J'étais souvent blessé et je n'ai pas pris le temps de me soigner comme il le fallait.

Je me suis fait beaucoup de bons amis là-bas et j'ai vraiment adoré les gens et les supporters, l'esprit qu'ils avaient.. Le Pilou-pilou, le Stade Mayol m'ont marqué a vie !
Mais je suis déçus de certains supporters qui  pensent que je déteste Toulon et que je suis venus pour l'argent..

J'ai joué 22 matchs pour le club et j'ai eu une opération au genou au cours de la même saison. C'était une saison difficile pour moi, mais je n'ai jamais détesté cet endroit ou les supporters..

Que penses-tu sur les All Blacks? Ils sont champions du monde, intouchables lors des test matchs, comment sens-tu cette équipe? As-tu encore des contacts avec certains joueurs de l'équipe?

  J'étais vraiment heureux pour tous les Blacks et l'année dernière a été un moment spécial pour eux, les entraîneurs et les joueurs méritaient de remporter enfin un titre mondial depuis 20 ans ! Je parle encore à ceux avec qui j'ai joué comme Sonny Bill, Ma'a Nonu, Piri Weepu ou encore Dan Carter !

Beaucoup de nouveaux joueurs son arrivés et je ne les connais pas forcément. Lorque je reparle à certains de mes anciens coéquipiers c'est plus pour parler de ce que l'on devient chacun de notre côté, mais très peu rugby..

Pour terminer, un rapide mot pour les supporters français qui garde toujours un oeil sur toi ?


Pour les fans de Toulon j'ai envie de dire "Pilou-Pilou !"
Et puis je remercie beaucoup les fans français qui m'ont soutenu au fil des années.. 
J'ai encore quatre ou cinq ans a joué alors qui sait je pourrais peut être revenir en France et finir ce que j'ai commencé.. J'aimerais gagner le championnat français...
Tout peut arriver ...
 Je veux aussi dire à tous les supporters françaisde profiter de la saison à venir pour soutenir vos équipes respectives ! 

La Team Rugby-Actus remercie Jerry Collins pour avoir répondu à toutes ces questions ! 

Yachvili : Une opération qui s'est "bien passée"



Opéré d'une hernie discale mardi, Dimitri Yachvili, demi de mêlée des Bleus et du Biarritz Olympique, a indiqué sur son compte Twitter que l'intervention chirurgicale s'était « bien passée ».

Des nouvelles rassurantes pour Dimitri Yachvili. Opéré d’une hernie discale mardi, le demi de mêlée international français du Biarritz Olympique (31 ans, 61 sélections) a indiqué sur son compte Twitter que l’intervention chirurgicale s’était « bien passée ». Il devrait être éloigné des terrains durant environ trois mois.

Wilkinson comme cadeau de fin d'année?


L’avenir de Jonny Wilkinson en question. Sous contrat avec Toulon jusqu’en juin 2013, le demi d’ouverture anglais (33 ans) hésite quant à la suite à donner à sa carrière. Il pourrait raccrocher les crampons à l’issue de la saison, sa troisième sous les couleurs du RCT. Ou alors, il pourrait bien lever l’option incluse dans son bail et prolonger l’aventure pour une année supplémentaire. Et plus si affinités. Selon les informations de La Provencel’ancien de Newcastle devrait prendre sa décision d’ici au mois de décembre, après avoir déjà précisé qu'il souhaitait terminer sa carrière dans le Var. Il préfère prendre le temps de la réflexion avant de se prononcer définitivement. Une série de facteurs devrait entrer en ligne de compte dans son esprit, comme son état physique, la concurrence avec Frédéric Michalak pour une place de titulaire en numéro dix ou encore son niveau de jeu. Sur ce dernier point, « Wilko » s’est rassuré depuis le début de la saison.

Auteur de 21 points contre Perpignan en ouverture du Top 14 (15-21), l’ancien ouvreur du XV de la Rose (91 sélections) a confirmé samedi dernier sur le terrain du Racing-Métro, avec treize unités à son actif (21-23). Chez les Franciliens, il s’est aussi trouvé à l’origine des deux essais de son équipe et a confirmé son influence sur le jeu des siens. Il est redevenu régulier dans son rôle de buteur, avec un seul échec sur douze tentatives, en deux matchs. Il avait pourtant vécu une fin de saison dernière très compliquée dans l’exercice.Avant de régler la mire en demi-finales contre Clermont (12-15) et d’envoyer sa formation au Stade de France, le natif de Frimley avait traversé une sérieuse phase de doute. Très entamé physiquement, il enchaînait les ratés dans les tirs au but et ne pesait plus sur le jeu. Perdu sur le terrain, il ne gagnait plus ses duels, lui qui est pourtant réputé excellent défenseur. Mais Wilkinson sortait d’une saison longue et éreintante à tous les niveaux. 

Elle avait débuté dès le mois de juin, avec la préparation pour une Coupe du monde aux antipodes. Le maître à jouer de l’Angleterre était ensuite rentré meurtri de Nouvelle-Zélande, où son équipe avait failli sportivement (élimination en quarts de finale contre la France) et en dehors des terrains, où les polémiques s’étaient multipliées. Le contexte sera bien différent cette saison. Après de longues vacances, il sort d’une préparation pleine. Après avoir annoncé sa retraite internationale, il bénéficiera de plages de repos au lieu de partir en stage avec sa sélection. Enfin épargné par les blessures depuis plusieurs saisons, il dispose donc de tous les ingrédients pour réussir une grande saison. Mais de la cohabitation avec Michalak pourrait dépendre son avenir. Comme le précise La Provence, la date butoir fixée au mois de décembre n’est certainement pas anodine. Elle lui donne le temps de se situer dans le groupe avant de se prononcer.